La Yokohama est une poule peu répandue et assez difficile à trouver. Elle est originaire du Japon et a été exportée vers la France au cours du XIXe siècle. Le coq présente une longue queue, (jusqu'à 1,50m) héritage de l'Onagadori et races de poules est appréciée comme volaille d'ornement. La poule Yokohama une petite pondeuse, elle fournit environ 60-80 oeufs/an.
Résultat du croisement entre les races Shamo et Onagadori, la poule Yokohama a conservé les attributs principaux de ses ancêtres.
La magnifique queue du coq Yokohama est un héritage de l'Onagadori. Mesurant environ 1,50 mètre, est beaucoup plus courte que celle de ses ancêtres qui mesurait plus de 10 mètres. Malgré sa taille réduite, elle reste une caractéristique remarquable appréciée par les éleveurs de volailles d'ornement. Tout comme l'Onagadori, la poule Yokohama possède un gène qui inhibe la mue des plumes de la queue.
| Groupe | Race étrangère |
|---|---|
| Ordre | Galliformes |
| Famille | Phasianidés |
| Genre | Gallus |
| Nom scientifique | Gallus domesticus |
| Descripteur | Linnaeus, 1758 |
Afin de maintenir le plumage des coqs en bon état, les Yokohama sont souvent élevés en volière. De plus, les coloris étant basés sur le blanc, mieux vaut éviter la pluie et la boue si on désire garder des animaux propres.
La poule est une toute petite pondeuse, on estime sa moyenne entre 60 et 80 œufs/an, et le coq semble peu dégourdi à la reproduction. Il en résulte un faible taux d'éclosion, ce qui fait la rareté de cette race.
La poule Yokohama tient son nom du port de Yokahama au Japon. Elle a été découverte et exportée au XIXe siècle par un missionnaire français nommé Girard. Elle fait sensation dès sa première présentation à Paris en 1864 et se répand rapidement dans le reste de l'Europe puis aux États-Unis où elle sera déclinée en race naine.
Cette race est le résultat du croisement des races célèbres onagadori et minohiki. Elle est répertoriée parmi les 108 races de poules reconnues par le British Poultry Standard.
